lundi 16 avril 2012

La France "Forte" ou "Morte" ?


La France Forte ou Morte ?
Un message de Dominique Aubier, dicté le 16 avril 2012


Les sondages font prévoir l’échec de l’actuel président. « La France Forte », disait-il, et moi je dis non : la France n’est pas « forte », mais elle est « morte ». Elle se trompe d’élection, le peuple et le pays oublient leur rôle dans la pensée universelle.

Les intérêts se sont rués sur l’or, là où les passions de l’esprit auraient dû s’orienter sur l’or de la Connaissance. Je m’évertue depuis des années à essayer d’imbiber les esprits de cette idée. La crise n’est qu’une flèche en direction de l’avenir obligatoire. Aller vers les ressources de l’esprit, là où la finance a totalement échoué. Ne pas se tromper de direction. Savoir que le handicap de la crise a une utilité profonde, celle d’orienter les esprits vers l’avenir nécessaire et il s’agit obligatoirement de redécouvrir les valeurs de l’Esprit. J’essaie depuis des années de parler cette vérité d’une manière pragmatique et actualisée. Tous mes films répondent à ce souci : accoutumer les consciences à penser avec les lois de la vérité absolue. Rien n’est plus difficile que convaincre le peuple de France de cette nécessité.

Mais il n’y en a pas d’autre. Ce sera l’Absolu, la vérité ou rien. Nous n’aurons même pas le choix. Des rouages cosmiques sont en train de rouler un banc d’honneur à l’éloge de l’Absolu comme s’il en avait besoin. Mais c’est nous qui avons besoin de l’Absolu et non l’Absolu qui a besoin de nos éloges. Nous devons apprendre à le connaître et la seule manière forte d’en maîtriser le thème, c’est de lire l’Alphabet hébreu tel qu’il est vivant au sein de l’Esprit. Car tout dépend de lui, que cela plaise ou non. L’Absolu n’est pas du ressort de nos votes. C’est nous qui avons besoin de son élection et non le contraire. Nous en avons besoin pour savoir dans quoi nous vivons, où nous sommes à vivre dans cette réalité et pour savoir ce qu’il faut faire pour être de plain pied chronologiquement avec le Temps qui nos invente.

L’Alphabet hébreu donne l’image directe du flux énergétique qui dirige et maîtrise tout en ce bas monde. Le lire de Aleph à Tav sur ses deux voies, c’est tout de suite disposer d’une image générale de l’évolution cyclique. Là, il y a des points stratégiques. L’itinéraire du flux évolutif est marqué de temps à autre par des situations typiques. Il faut les connaître. Il y a le symbole, le niveau 9 de l’alphabet, la lettre Tet. Le point crucial de la terminaison cyclique en Tzadé et la monté en spirituel du côté droit des 4 dernières lettre qui font retour archygénique sur les 4 premières. Nous en sommes là, à devoir battre le fer de la vérité absolue pour en faire de l’acier alors que nos inconsciences ne broient que du noir dans un méli-mélo de sottise. Il y a urgence à totalement changer d’optique. Ajuster notre vie, nos modèles d’action à la vérité absolue, ne plus tergiverser avec cet argument métaphysique. De toutes façons, si nous ne cédons pas aux sommations du moment, le Temps trouvera le moyen de nous y contraindre méchamment. C’est pourquoi j’ai rédigé tout un film sur la Crise afin de mettre au courant les esprits sur ce qui ne va pas, sans avoir dit le fin mot de l’affaire, et c’est que la Crise annonce l’Esprit ! Elle déclenche une flèche qui va directement sur l’Absolu et les lois de l’Esprit, il est donc urgent de les connaître et donc d’écouter les leçons que je donne en tenant compte de la précarité et de la médiocrité des préparations : je ne sais pas si le Temps et la vie me permettront de continuer ce travail. Je suis fortement handicapée par le fait d’être la physiologie en cause, chargée de dire ces choses-là. On ne choisit pas d’être un initié au point de vue séphirotique. Cela vous tombe dessus si c’est votre sort. On ne peut ni se dérober ni tricher avec l’impulsion qui arrive. On ne peut que l’assumer, fût-ce au prix d’un handicap physiologique terrifiant et un cumul de souffrance qui rendent impossible le travail alors qu’il est obligatoire et urgent de le réaliser. Telle est ma position en ce moment. Elle ne me flatte pas. Car rien ne flatte un être humain pour être ce qu’il est. Il ne peut qu’essayer de l’être au mieux.

www.dominique-aubier.com/crbst_46.html

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