vendredi 20 janvier 2012

Du Symbolisme à la Crise


Du Symbolisme à la Crise

Film de Dominique Aubier

Pour bien comprendre la crise, au-delà des poncifs que nous servent les prétendus experts…
Voici une lecture initiatique de la Crise

Voir ici :

dimanche 8 janvier 2012

Message pour les Francs-Maçons de toute obédiences…


Le renouveau maçonnique est-il possible ?

Après que le désastre de 1492 ait cassé l’avenir de la Kabbale alors qu’elle avait triomphé durant des siècles en Espagne, une prise de conscience s’est produite. Cervantès en parle dans Don Quichotte. Ce génial écrivain célèbre la naissance de la franc-maçonnerie. Il identifie dans ce mouvement la création d’une institution civile reprenant la thèse du sacré afin de la maintenir vivante.
La franc-maçonnerie aurait pris corps au moment où la Kabbale avait des difficultés à poursuivre son avancée à l’intérieur d’une communauté juive trop largement dispersée et pourchassée. Selon cette conception, la franc-maçonnerie serait un exercice vivant de mémorisation et de révélation à l’égard du Sacré et non pas un simple répertoire de rites et de mystères. Comme son nom l’indique, sa philosophie se fixerait sur une vision de l’architecture soutenant la Création, le cosmos, la planète, les cycles et nos personnes. Il s’agirait d’un événement culturel notablement historique.
Mais les idées s’usent, on le sait.
La volonté initiale de la maçonnerie s’est altérée à la longue. Mais chaque fois qu’une rupture menace la Tradition, un jaillissement nouveau se produit qui en revivifie la thématique. Aujourd’hui, compte tenu de la prodigieuse expansion des sciences, de leur totalitarisme, la voie du Sacré n’est plus entendue. Ses résonances dans les rituels maçonniques s’immobilisent dans un formalisme symbolique. Mais la mission reste la même : il s’agit toujours de sauver la vérité au moment stratégique où le matérialisme la met en danger. Une voix s’élève alors pour réveiller la vigilance assoupie en faisant que la thèse gagne en efficacité et précision.
Cette fonction de renouveau, l’œuvre de Dominique Aubier la remplit depuis 50 ans. L’effet de révélation a la valeur d’une conclusion cyclique : 40 livres et bientôt une trentaine de films en exposent la substance. Ces documents suffisent à instruire les ignorants, tout comme ils s’offrent en appuis instructifs pour les esprits avertis. Comme disait Racine, les consciences bien informées s’y reconnaîtront et finiront d’apprendre.
Il se trouve que le Temps nous y invite. Il vient de le faire à la date précise du 11 novembre 2011. En se servant de ses propres chiffres : trois fois 11. De nombreuses personnes ont été alarmées par ce triplet. Un kabbaliste compétent y verra un net signal. 11 est un chiffre lisible dans la séquence alphabétique. La onzième lettre, Kaf, désigne la paume de la main. Et sur cette main, voilà que le chiffre 11 se déposerait trois fois. Et cela peut se lire.
11 = Yod-Aleph (10 + 1) ou alors Aleph-Yod (1 + 10). Dans le premier cas, Yod-Aleph évoque l’action ontologique. L’énergie Yod fait surgir le système Aleph et la Création apparaît. Dans la lecture Aleph-Yod, le système Aleph doit être vu dans le flux d’énergie s’écoulant du Yod. Cela revient à poser une question : où en êtes-vous ? A quel endroit de l’aventure évolutive, en quel lieu de la vie ? C’est le premier sens du mot Ya, message donné par le 11 de ce jour, vendredi anniversaire d’un armistice. Le deuxième 11, celui du mois de novembre, signifie que l’essentiel n’y est pas : Ya = point, absent. Quant au troisième, c’est un cri, « malheur ». Comme si le Temps hurlait : « le retour à la loi éternelle est là, et si n'y prenez gare, malheur ! »
Alerte fléchée sur les esprits préparés. Les premiers à sursauter devraient être les francs-maçons en raison de leur vocation de naissance…
Message du Temps
adressé aux loges maçonniques de toute obédience.