mercredi 26 décembre 2012

Gérard Depardieu nous quitte : pourquoi ?



Gérard Depardieu nous quitte (ou le sens de l'exil.)

(article de : Dominique Blumenstihl-Roth)


C’est une bien triste nouvelle. Gérard Depardieu nous quitte. Je veux dire qu’il quitte la France pour gagner des cieux plus favorables, en Belgique ou en Russie.
Qui pourrait porter un jugement ?
Persécuté par le fisc, sans doute le comédien cherche-t-il à se protéger… C’est son droit et rien de ce qu’il fait ne semble illégal. Ce qui m’inquiète davantage, ce n’est pas le sort de l’acteur à titre personnel qui, après tout, a bien le droit de décider du cours de son existence en toute liberté. Non, ce qui est inquiétant, c’est le sort de la France. Que devient-elle ? Ou plutôt qu’est-elle devenue pour que ses artistes commencent à la fuir ?
Quel est le sens du « départ » de Gérard ?

Message troublant, symbolisé par l’exil de l’acteur. Car c’est à mon sens moins l’homme qui fuit la France que le comédien vouant sa vie à composer des rôles, à représenter des êtres et des situations. Un comédien est avant tout un être assumant des représentations symboliques et allégoriques. Aussi Depardieu joue-t-il ici un acte symbolique important qui nous concerne et qu’il faut éclaircir !
Lecture kabbalistique : dans le nom de l’acteur on peut lire en effet un double – message. D’une part, on a « j’ai rare de par Dieu » et dans ce sens, oui, la France a bien un jeu rare à jouer, mandaté par Dieu. C’est le « grand dessein de la France », actrice de civilisation, se mettant au service de la Connaissance. D’autre part « j’ai rare – départ – Dieu » et dans cette seconde acception apparaît bien le mot « départ », dans le sens d’exil. C’est à dire que si la France n’accomplit pas ce pour quoi elle est faite, l’énergie la quittera… Or c’est bien ce que vient de faire le comédien porteur de ce patronyme-message. Message symbolique suractivant l'inconscient de Gérard et qui pourrait bien annoncer un proche exil de l’énergie si le redressement spirituel n’est pas engagé…

Dans plusieurs films et livres, Dominique Aubier a expliqué que la France, en hébreu, se dit «Tzarfat».
Ce mot existait avant que la nation qui en porte le nom prenne consistance, bien avant Clovis, puisqu’il apparaît dans la Bible, dans la prophétie Obadia au verset 20.
En hébreu Tzarfat signifie purifier, épurer, mais aussi changer. Tzar-fat s’entend aussi : pain d’affliction, morceau d’adversité, lieu étroit. Est-ce le « lieu étroit », cette « affliction » que Depardieu a fuit ?
Exégèse du mot Tzarfat : lire Dominique Aubier dans son livre, Don Quichotte, le prodigieux secours du messie-qui-meurt… p. 433. Dans ce nom, Tzarfat, la lettre Tzadé et sa double polarité sont les insignes de son comportement. La France est toujours entre deux extrêmes. La France s’affirme fortement unitaire quand les contraires se parlent et ils ne se parlent jamais si bien qu’en langue française. C’est pourquoi la France est le territoire du Qorban. Elle est au paroxysme de sa puissance quand elle rapproche les contraires. Elle les met « ensemble » et elle atteint ainsi la véracité communicable qui habite la réalité.
La France, par la lettre Tzaddé qui préside en initiale, a la tendance naturelle au « clivage », à la dispute entre les contraires. Sa difficulté, c’est d’unir alors que les intransigeances de part et d’autre du Tzaddé tirent les polarités en sens opposé si bien que le dialogue devient impossible.
La méchante tendance des politiques est de stigmatiser ces opposites : la polarité du secteur Qui-Fait, d’obédience matérialiste, tend à imposer son style, au détriment du secteur Qui-Sait. D’où la politique visant à soutenir indéfiniment l’industrie (et de préférence la plus lourde, celle qui précisément périclite) au détriment de la culture. De privilégier la Science et les techniques au détriment de la Connaissance. D’où le caractère obnubilé de la vision économiste, tendant à soumettre les peuples à l’organisation chosifiante. Mise en place d’une dictature insectoïde — sous couvert de démocratie sociale — alors qu’il s’agit de la planification de l’aliénation spirituelle sous conditionnement matérialiste.
A sonder, le nom de l’artiste : Gérard Depardieu.
A n’en pas douter, son nom a été le principal porteur et garant de son succès. Certes talentueux à titre personnel, il a été soutenu par l’énergie de son nom. « Le nom est la première passion d’un homme » dit le kabbaliste Abulafia. Son départ de la France est donc un message qui nous est signifié par son nom.
Eh oui, « J’ai- rare » « de par Dieu » nous signale bien (technique kabbaliste du notarikon, remplacement d’une lettre par une autre, ici le « r » par un « m ») et cela devient « j’ai mare ». Ce n’est donc pas tant Obélix qui en a mare de porter des menhirs trop lourds mais l’Invisible lui-même, lassé pas l’imposture pseudo-messianique du socialisme marxisant, aggravé par les insuffisances intellectuelles des pseudo-élites prétendant diriger notre pays.
La symbolique de ce « départ » a été violement ressentie par les politiques, comme si le message «de-part-Dieu» les touchait individuellement ! D’où les déclarations amères des ministres qui en ont encaissé la portée comme un jugement à leur égard. D’où la volée d’accusations jetées à la tête du comédien.
Mais avant d’accuser Gérard, il faut comprendre la portée symbolique de son geste. En faire la lecture objective et se dire qu’en effet, « rien ne va plus en France, pays s'adonnant avec volupté à l'illusion de la compéti-ti-vité matérialiste alors qu'il s'agit d'investir dans la culture et la Connaissance.»
Aussi, ce qui est « minable », ce n’est pas la décision de l'acteur, c’est au contraire l’incapacité de nos « élites » à dégager le sens de son acte.
Le départ de Gérard est une catastrophe du point de vue du symbole réalisé. C’est un jugement. Une sanction non pas infligée par l’homme — qui n’en a pas le pouvoir — mais par l’Invisible dont il est, en l’occurrence, l’acteur mandaté. La France — Tzarfat — a provoqué l’exil du meilleur d’elle-même. Elle a banni, insulté le meilleur côté du Tzaddé pour ne vivre que d'un seul côté.
La véritable question, maintenant, est de savoir comment réparer ce désastre ?

Suggestions :
— Commencer par rendre visite à Gérard et lui demander de revenir. Réparer le symbole.
— Favoriser une fiscalité propice à l'installation en France des créateurs, artistes ;
— Permettre l'expression de la Connaissance sur les médias ;
— Supprimer les violences à la télé ;
Diffuser sur les médias les films de la série Ciné-Code ;
— Bannir le mot bégayant de "compétitivité" et le remplacer par "coopération".
— Elaborer une politique inspirée par la Connaissance.

(liste à compléter)


vendredi 21 décembre 2012

La fin du Monde 21-12-12 — ou le début d'une ère nouvelle ?

Aujourd'hui, d'après les Mayas, c'est la fin du monde. 21 décembre 2012. 21-12-12.
Du moins un changement de cycle.
Alors, s'il faut changer de vélo, apprenons au moins à pédaler dans le bon sens.
Pour cela, connaître la bonne direction.
Savoir où va l'énergie…

Pour bien comprendre le mécanisme, voir ce film :



Et pour en savoir plus :
— Dévisser nos anciens critères de pensée.
— Envisager un autre paradigme que celui de la rationalité linéaire.
— Voir autrement.
Et pour y parvenir, s'instruire des critères initiatiques.
Vous êtes prêts à entrer dans l'ère (air ou aire ?) nouvelle ?
Alors allons-y ensemble !



PS :
And do not forget to read this book before the world ends : 



The Hidden Face of the Brain is a two-volume set
Translated from French by Sarah Thomas King and Frédéric Thomas
published by
 M.L.L./Publishing
P.O Box 16
27 240 DAMVILLE, Normandy, FRANCE





lundi 17 décembre 2012

Tsim Tsoum : le secret du Tsim Tsoum


Qu'est-ce que le Tsim Tsoum ?

La kabbaliste Dominique Aubier a largement présenté ce concept kabbalistique dans plusieurs de ses livres et films.
Voici un extrait de son explication qui permet de voir clair.
Tout d'abord, Dominique Aubier précise que ce concept kabbalistique a été mis au point par Isaac Louriah. Il est en effet indispensable de citer l'auteur qui a mis au point ce concept.
Ensuite, il est nécessaire de corriger la transcription phonétique. En effet, la transcription phonétique TsimTsoum est fausse, car il n'y a pas de "i" (youd ou aleph) dans le mot hébreu original "Tsm".
C'est un élément essentiel de l'explication. Introduire un "i" entre le "s" et le "m" est une facilité de prononciation mais ne correspond pas à l'écriture originale. Le sens de ce concept réside à 100% dans son codage en lettres hébraïques.
Pour en savoir plus, lire le livre "La 23ème lettre de l'Alphabet hébreu", par Dominique Aubier
et voir le film "Le Logiciel kabbalistique"
et le film "L'impromptu de Genèse".


"Le TsimTsoum ( donc TSM-TSOUM) est le nom d'une opération dont est issue la Création. Cet événement initial aurait été déclenché par le jeu du Tsm-Tsoum dans le Hé initial de l’alphabet, mouvement réalisé par l’énergie ambulante, le Yod. Cette opération se réalise automatiquement au moment codé d’avance où le Hé, dans la partie féminine éprouve l’émotion d’être sans énergie. Le fait de la lui accorder déclenche la Création. Cet acte est enregistré dans la structure sous la forme du point qui est au cœur du Bet dans Béréschit. Ce point représente la percée de l’énergie divine qui continue de s’écouler dans la réalité crée. "
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Un film récent présente un petit bateau s'appelant TsimTsoum.
Un voyageur se retrouve dans une barque portant ce nom en compagnie d'un tigre…
Le tigre désigne symboliquement l'énergie venant habiter la structure…
Se reporter à un autre film : Paheli, réalisé par Amol Palekar…

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"Le film indien, "Paheli" fournit une interprétation imagée à la fois allègre, humaine et fidèledu principe transcendantal qu’Isaac Louria a fixé sous les deux syllabes Tzm (sans i, j’y tiens !) Tzoum. Le premier de ces deux phonèmes a été visiblement retenu depuis longtemps par les kabbalistes puisqu’on en voit les deux lettres Tzadé et Mem au centre de la coquille séfirotique dressée par Moïse Cordovero.

"Il faudra commencer par décrire la phase créatrice qui met en place le
Rosch Primordial dans l’espace induit tout exprès pour le recevoir, selon
l’idée qu’Isaac Louria s’en est faite. La structure appelée à être étant un
cortex doué de parole, deux hémisphères s’accolent en elle, par leur bord interne. L’un d’eux est le « qui Sait », l’autre le « qui Fait ». Le premier nommé reçoit les aires du langage et possède l’énergie qui va mouvoir l’organisme entier. Une délégation de cette énergie en soutient la vie végétative. Mais du point de vue de l’évolution et de la progression dans les couches, le « qui Sait » est nettement favorisé par rapport au « qui Fait ». Inégalité qui va créer à la longue un déhanchement dangereux entre les deux moitiés. L’une saura ce qu’elle est, l’autre ne comprendra pas ce qu’elle fait. Pour pallier ce danger dans un esprit de justice qui devient l’effluve sensible de la situation, le Créateur ordonne à l’énergie de prendre ses renseignements dans le cerveau caché qui contient l’alphabet hébraïque, de charger tous les documents qui en définissent le statut cérébral et de les apporter au « qui Fait » . C’est ce qu’évoque l’allitération Tzmtzoum. La première syllabe correspond au trajet que l’énergie effectue en « qui Sait » ; la seconde au vecteur qui se dessine dans l’espace « qui Fait ». À ces deux phonèmes et aux phénomènes qu’ils impliquent, le film fournit l’équivalence remarquable de la conversation entre le fantôme et Lachchi quand ils sont en face à face corporels pour la première fois dans la chambre conjugale. Il dit qu’il est un imposteur. Mais il vient par amour. Et c’est l’amour du Créateur pour sa création qui doit être imitativement ressenti dans la droiture d’une généreuse initiative divine. Le sentiment qu’il faut être juste s’accompagne de l’obligation d’éclairer la mesure prise, puisque la structure créée est un cortex, organe producteur de conscience. Le comportement du fantôme fait humainement la description des
sentiments qui ont pu présider à l’opération dans l’état d’âme du Créateur."

Extrait du livre "Bolliwood, le Cinéma Indien"
Le film en cause :  Paheli, réalisé par Amol Palekar
Avec Sharukh Kahn, Rani Mukerji, Juhi Shawlahttp://www.dominique-aubier.com/crbst_35.html


Pour en savoir plus :
et le film "L'impromptu de Genèse".