dimanche 22 avril 2012

La trahison française : le Vote du Jour


La trahison française (le vote du jour 22 avril 2012)

Par Dominique Aubier


Notre pays, la France, a un rôle à jouer dans le système réflexif de la planète et du monde. Ce rôle appartient au régime de la compréhension. La langue française est l’idiome universel le plus apte à raser le sol des vérités éprouvables et elle a un talent spécial pour nous rendre compte des notations qui en résultent. En ce sens, on peut dire que la France est l’organe intellectuel de la compréhension mondiale. Mais il faut que ce poste fonctionne. Il ne doit pas dépérir par une complaisance excessives dans ses naïvetés : aucune complaisance ne doit empêcher son déroulement actif. La compréhension de la vérité passe nécessairement par la grande voix de la France. Et c’est ce que le monde entier attend d’elle : que la France parle et dise les vérités du monde et du réel, dans un langage pragmatique, susceptible de toucher toutes les consciences.
Cela veut dire que la Méditerranée tout entière boucle son bilan sur la côte française et que Marseille en ce sens a vocation à être capitale de l’Esprit au plan où la civilisation est née sur la Grande Bleue.
Je soulève là des points de vue que j’ai eu l’occasion de traiter à certains moments où le temps les soutenait avec force. On ne m’a pas écoutée.
Quand il a été question de la Méditerranée j’ai essayé de faire valoir la notion de la double axe qui contourne les rives à Droite et à Gauche. Je n’ai pas pu prendre part aux communications qui ont été organisées à l’époque autour du thème : ma voix a été éliminée, et c’est avec justice que je crie à la trahison. Car ce n’est pas moi, personnellement qui suis lésée, c’est ce que la France pense d’elle – même ou devrait savoir penser.
Beaucoup de personnes agissent du haut de leur courte autorité ayant tout le pouvoir possible quand il s’agir d’interdire, de censurer, de bâillonner une voix au lieu de l’entendre. On ne peut plus se contenter de dénoncer ces façons de faire anti démocratiques, ennemies de l’universel, toxiques pour l’esprit et la vérité. Car à force de les dénoncer on renforce l’opposition qui leur est faite. Tel est le vice de la situation : on ne peut ni l’arranger ni la reconsidérer. Ni en parler, que ce soit dans un sens ou dans l’autre. Nos consciences sont obstruées, sourdes à tout raisonnement salvateur, l’attention étant décidément tournée avec la plus grande volupté vers les erreurs et les fautes qui engendrent nos désastres. Dans cette attitude-là, pas de frein, pas de limite, la destruction a toutes les forces. Cela qui me fait hurler à la trahison, car c’est la vérité que l’on trahit, c’est l’esprit naturel, vivant dans les consciences que l’on brime et étouffe.
Nos grands universitaires sont engagés avec fureur dans les vicissitudes les plus abjectes du rationalisme triomphant, et leurs diplômes, leurs titres et postes de référence, leur confère une puissance qu’au regard de la société ils estiment normal. Malheureusement, il n’y a pas de juge pour statuer sur l’état d’esprit en cause. Notre rationalité s’estime être le juge. Peut-elle être juge et partie ? Partie accusée, et juge incapable. Il y faut une autre voix. Et c’est celle que je propose dans notre Méditerranée, dans notre cercle civilisateur de base, confondu à notre Grande Bleue. Hélas, il n’y a d’attention que pour la Rive Nord, gréco-latine, qui aboutit à la science aboutissant à une jubilation rationaliste de grande prétention.
Mais la civilisation qui s’est fondée par appui sur la Méditerranée n’a pas choisi une de ses rives contre l’autre. C’est nous qui avons privilégié l’axe gréco – latin à terminaison scientifique. Il n’en demeure pas moins que la grande voix sémitique détient la décision inventive et que c’est de son côté qu’il faut reporter tous nos soins : retrouver le fondement sémitique du génie méditerranéen.
Toutes choses que j’ai déjà dite dans mon film « Il est temps pour la Kabbale ».
Qui a été interdit à un congrès international sur la Méditerranée. Refusé et rejeté par la direction alors qu’en privé elle trouvait le film excellent mais qui craignait d’effaroucher le public et la convention intellectuelle rationalistico-scientifique.
Voilà ce qui me fait dire : trahison. Un pays qui se trahit lui-même ne se survit pas longtemps. En revanche, rien ne pourrait arrêter son développement et sa croissance si ces principes de bases restaient ce que le Ciel a voulu qu’ils soient.
C’est le vote que je dépose dans l’urne du jour, puisqu’il y a lieu de s’exprimer dans les urnes…

samedi 21 avril 2012

Sortie de la Crise / Sortie d'Egypte !


Par Dominique Aubier


Nous sommes à un moment analogue à celui de la Sortie d’Egypte.
Il ne s’agit plus de sortir d’un pays, mais d’un climat de pensée qui équivaut à toute une localisation dans l’espace et le temps et surtout dans l’erreur, en marge de la Vérité.
Le problème est de se faire entendre, dans le monde qui ne veut rien savoir en dehors de ce qu’il souhaite matériellement et étroitement. En cela réside le danger : celui d’une inadaptation totale à la réalité. Nous marchons sur des nuages dont nous avons nous-même gonflé les volumes. Notre pensée est aussi loin de la vérité qu’il est possible de le concevoir intellectuellement. Comment corriger ce fatras d’idées et d’activités ? Il faudrait que le Temps fasse lui-même la grande lessive. Peut-être en serions - nous désinfectés, car le problème est tout entier là, dans la manière de penser le réel et l’immédiat.
Il faut savoir dans quelle maison cyclique nous habitons, à quelle adresse nous y sommes logés actuellement et ce qui se programme devant nous comme suite à ce qui se fait. La seule solution est celle qu’indique la Crise, cette Crise qui marque le « tournant de la rue » telle que l’a pris l’énergie pour indiquer ce qui est à restituer de vérité aux choses.
Plus de force pour les actes de fabriquer et de faire ! Pas de « croissance » ! C’est fini ! Croissance, le mot est de trop : l’énergie ne construit plus de choses matérielles, elle se dirige vers la zone où l’Esprit est de règle. Plus rien à faire, tout est à comprendre, à neuf, à partir de la détermination métaphysique. Le monde est tel que le Créateur nous l’a fabriqué. La maison de la Création nous a été confiée clés en mains. Ce sont ces clés qu’il faut apprendre à actionner, il n’y en a que 13 et elles permettent de tout faire. Aujourd’hui : il n’y a plus de croissance. La direction indiquée est celle de l’Esprit, il faut se restaurer en rétablissant l’intelligence des choses du monde à partir du modèle métaphysique et de ses éléments.
Agir en conséquence dans le sens qu’indique le moteur évolutif.
Nous en sommes à redécouvrir les vérités fondamentales, elles ont fait l’objet d’un cycle de Révélation. Depuis Abraham, tous les relevés ont été faits par les auteurs de la Bible, soigneusement, au sein du Réel en vue de la Révélation des lois fondamentales qui dépendent de l’initiative dont la Création est le fruit.
Renoncez à vos petites idées, sortez de vos minuscules églises (et mosquées) et prenez le grand air dans la forêt du Réel et du monde. Le Réel ne trompe pas mais nos intelligences se trompent, s’égarent et délirent aisément.
Se méfier de nos intellects, de nos petites consciences étroites flanquées de l’assurance énorme de croire toujours avoir raison…


vendredi 20 avril 2012

Les jeux sont faits !



par Dominique Aubier

Rien d’autre ne nous protège. Il n’y a que la vérité qui puisse nous aider dans la situation étroite de blocage devenu celui du monde. Commencer par dire « non » à tout ce que vous avez cru. Non au capital, non à la finance, non aux expédients financières, non aux roueries politiques. Non enfin à tout ce qui trompe. En venir à la vérité métaphysique, chercher Dieu là où l’on peut sentir sa présence et si cela s’appelle « prier », eh bien mettez-vous à genoux. Aurez-vous un autre recours ? Les jeux sont fait, le sort en est jeté. Le pire est tout ce qui nous attend.
Nous n’avons même pas l’imagination pour concevoir à l’avance quelle forme de désastre la situation prendra au fil des jours. Le Temps fera notre surprise et nos surprises seront assassines, meurtrière, terriblement méritées.
Ceci est vrai pour l’Occident de la pensée, l’Europe qui a raté son coup de génie et la France qui n’est pas capable d’assumer sa part de collaboration au redressement de la vérité. Le monde s’embourbe dans la décrépitude la plus avancée ; il est même trop tard pour lui dire d’arrêter, de se méfier, de ne pas aller de l’avant inconsidérément. Le moment dramatique du STOP est lui-même dépassé.
Le malheur va nous voler dans les plumes descendues en flèche du ciel de l’Esprit : c’est un épervier qui ne ratera pas sa cible. Nous volerons en éclat, faute d’avoir écouter la sagesse et une voix qui essayait de vous en vanter les avantages. Vous ne me reprocherez pas d’avoir parlé et précisé tant de point alors que je n’ai pas fini et que déjà c’est dans mon corps que je suis frappée de ce qui va vous arriver à tous. Je vous parle de l’intérieur d’un handicap physiologique majeur. C’est pourquoi je dois jeter mes idése, vite et en grand désordre, afin qu’elles se fassent entendre faute d’apparaître en saine logique. Seule subsiste la nécessité de rectifier le tir de l’Esprit avant que le monde tout entier ne déraille.
La pensée européenne a une grande responsabilité dans tout ce qui arrive de désastreux : son rationalisme scientifique n’a pas seulement échoué, il est une cause permanente d’échec et de désastres renouvelés. Alors STOP, par pitié ! Arrêtez vos croyances, vos estimations, vos valeurs, vos statistiques. Venez-en aux lois de l’Esprit.
13 voies de compréhension pour déchiffrer la réalité. C’est peu compte tenu des innombrables analyses qui nous sont offertes par nos intellectuels féru de raisonnements mais incapables de se retourner sur eux-même pour voir leur inanité.
Que puis-je dire de plus ?
A vous de jouer, bon sang !

mercredi 18 avril 2012

L'Absolu nous attaque en piqué !



Par Dominique Aubier


Comme un épervier plongeant en piqué, l’Absolu va nous voler dans les plumes. La France ne sait pas penser la situation. Ni Sarkozy, ni Hollande. Dans les deux cas de figure, l’ignorance de la vérité est criante. Lamentable. Insoluble. Il fallait m’écouter : comprendre que le Temps a son actualité, son point d’émergence dans le Réel et qu’on n’y coupe pas. Or le moment est fatidique : c’est celui du retour archygénique de la Création. Il faut assumer l’Absolu — et que ce soit l’Alphabet hébreu. La sommation est fatale. Nous n’avons pas de conscience collective pour en assumer la violence.
Aucune politique ni à Droite ni à Gauche ni au Centre n’est à la hauteur de la situation. Le diagnostic échappe à tous nos érudits de l’incapacité politique. Ils ne sont même pas capables d’écouter la voix de la Connaissance. Mais en Israël, cela arrive, que des politiques veuillent bien écouter des kabbalistes.
La pertinence évolutive est du côté de l’Esprit, en face, il n’y a que désastres et prétentions à une intelligibilité dans des consciences démunies au plus haut point.
En France, on ne peut pas rattraper le temps perdu, on ne peut pas même courir derrière le Temps au moment où il rebondit !
Peut-être l’attitude la plus simple serait-elle encore de prier ?
Mais j’existe ! Et j’ai fait des efforts ! J’ai fait des livres, des films pour imbiber les esprits ! J’ai le droit de me plaindre car je n’ai pas été entendue. Quant à Dieu, dans son Infini, il doit être bien consterné de voir où en est Sa Création et le monde. Aussi loin que possible de la vérité. Séparé de la vérité par un abîme infranchissable de sottise. Rattraper le temps perdu ? Lisez, écoutez, imbibez vous de vérité : le simple fait de tendre l’oreille à l’Absolu pourrait encore nous consoler. Nous nous sommes trompé d’élections : il ne s’agissait pas de voter pour la République et sa Présidence. La seule question était de voter pour l’Absolu.
Peut-être de se l’entendre dire en est-il un ? Aussi je le répète, il n’y a de vrai que le Modèle Absolu tel qu’il a été crée et dont l’Alphabet est le modèle et l’image parfaite. Alors regardez-le, et agenouillez-vous devant son autel.
N’oubliez pas que la crise est l’indice que l’énergie évolutive a tourné et qu’elle ira obligatoirement dans le sens de l’Esprit. Rien ne la freinera, rien ne l’arrêtera et si quelqu’un doit céder, c’est la sottise humaine. Revenez à l’Absolu et à la vérité et ses lois et si vous ne l’avez pas appris en une vie, ayez un acte de foi qui vaille l’impossible apprentissage. La culture s’est trompée, l’élite a raté son rôle, la culture est un égarement et nous ne savons même pas nous arrêter. STOP. Il faut marquer le STOP à toutes nos initiatives. Un STOP qui exprime loyalement ce que nous dit le nom de l’Absolu « Shaddaï »: « assez fait ». Il est bon de s’arrêter sur ce mot : STOP.


lundi 16 avril 2012

La France "Forte" ou "Morte" ?


La France Forte ou Morte ?
Un message de Dominique Aubier, dicté le 16 avril 2012


Les sondages font prévoir l’échec de l’actuel président. « La France Forte », disait-il, et moi je dis non : la France n’est pas « forte », mais elle est « morte ». Elle se trompe d’élection, le peuple et le pays oublient leur rôle dans la pensée universelle.

Les intérêts se sont rués sur l’or, là où les passions de l’esprit auraient dû s’orienter sur l’or de la Connaissance. Je m’évertue depuis des années à essayer d’imbiber les esprits de cette idée. La crise n’est qu’une flèche en direction de l’avenir obligatoire. Aller vers les ressources de l’esprit, là où la finance a totalement échoué. Ne pas se tromper de direction. Savoir que le handicap de la crise a une utilité profonde, celle d’orienter les esprits vers l’avenir nécessaire et il s’agit obligatoirement de redécouvrir les valeurs de l’Esprit. J’essaie depuis des années de parler cette vérité d’une manière pragmatique et actualisée. Tous mes films répondent à ce souci : accoutumer les consciences à penser avec les lois de la vérité absolue. Rien n’est plus difficile que convaincre le peuple de France de cette nécessité.

Mais il n’y en a pas d’autre. Ce sera l’Absolu, la vérité ou rien. Nous n’aurons même pas le choix. Des rouages cosmiques sont en train de rouler un banc d’honneur à l’éloge de l’Absolu comme s’il en avait besoin. Mais c’est nous qui avons besoin de l’Absolu et non l’Absolu qui a besoin de nos éloges. Nous devons apprendre à le connaître et la seule manière forte d’en maîtriser le thème, c’est de lire l’Alphabet hébreu tel qu’il est vivant au sein de l’Esprit. Car tout dépend de lui, que cela plaise ou non. L’Absolu n’est pas du ressort de nos votes. C’est nous qui avons besoin de son élection et non le contraire. Nous en avons besoin pour savoir dans quoi nous vivons, où nous sommes à vivre dans cette réalité et pour savoir ce qu’il faut faire pour être de plain pied chronologiquement avec le Temps qui nos invente.

L’Alphabet hébreu donne l’image directe du flux énergétique qui dirige et maîtrise tout en ce bas monde. Le lire de Aleph à Tav sur ses deux voies, c’est tout de suite disposer d’une image générale de l’évolution cyclique. Là, il y a des points stratégiques. L’itinéraire du flux évolutif est marqué de temps à autre par des situations typiques. Il faut les connaître. Il y a le symbole, le niveau 9 de l’alphabet, la lettre Tet. Le point crucial de la terminaison cyclique en Tzadé et la monté en spirituel du côté droit des 4 dernières lettre qui font retour archygénique sur les 4 premières. Nous en sommes là, à devoir battre le fer de la vérité absolue pour en faire de l’acier alors que nos inconsciences ne broient que du noir dans un méli-mélo de sottise. Il y a urgence à totalement changer d’optique. Ajuster notre vie, nos modèles d’action à la vérité absolue, ne plus tergiverser avec cet argument métaphysique. De toutes façons, si nous ne cédons pas aux sommations du moment, le Temps trouvera le moyen de nous y contraindre méchamment. C’est pourquoi j’ai rédigé tout un film sur la Crise afin de mettre au courant les esprits sur ce qui ne va pas, sans avoir dit le fin mot de l’affaire, et c’est que la Crise annonce l’Esprit ! Elle déclenche une flèche qui va directement sur l’Absolu et les lois de l’Esprit, il est donc urgent de les connaître et donc d’écouter les leçons que je donne en tenant compte de la précarité et de la médiocrité des préparations : je ne sais pas si le Temps et la vie me permettront de continuer ce travail. Je suis fortement handicapée par le fait d’être la physiologie en cause, chargée de dire ces choses-là. On ne choisit pas d’être un initié au point de vue séphirotique. Cela vous tombe dessus si c’est votre sort. On ne peut ni se dérober ni tricher avec l’impulsion qui arrive. On ne peut que l’assumer, fût-ce au prix d’un handicap physiologique terrifiant et un cumul de souffrance qui rendent impossible le travail alors qu’il est obligatoire et urgent de le réaliser. Telle est ma position en ce moment. Elle ne me flatte pas. Car rien ne flatte un être humain pour être ce qu’il est. Il ne peut qu’essayer de l’être au mieux.

www.dominique-aubier.com/crbst_46.html

samedi 14 avril 2012

Comment sortir de la Crise - Dark Passage

Revoir à ce sujet le film de Delmer Daves : Dark Passage.


La crise n'est pas seulement économique. 
L'économie n'est qu'un aspect de la vie.
La crise est un moment précise qui survient partout dans le réel, partout où s'expriment des cycles vivants.
C'est un moment d'entropie maximale, quand l'énergie évolutive parvient au climax de son développement sur la branche gauchère de l'arbre évolutif. L'énergie désire quitter le lieu de cette entropie pour rejoindre la branche d'En-Face.
Entre les deux branches : le Tunnel. Le Pont. Le Labyrinthe.
Le passage au Labyrinthe, c'est ce qui se passe, dans votre vie (votre vie personnelle),  dans vos événements, mais aussi dans votre cerveau quand l'énergie passe du stade "Tzadé final" au "Qof".
Quand l'énergie passe de Gauche à Droite, elle franchit un espace central qui est la séparation des deux hémisphères. Donc, dans le Labyrinthe, vous aurez deux parties. Une première partie est sous la dominance du Tzaddé final, c'est la partie très dangereuse. L'autre partie appartient à l'autre moitié du cerveau qui est sous la commande du Qof. C'est une lettre d'appel. Il faut donc savoir que dans le Labyrinthe il y a deux itinéraires. 
Le premier sous dominance du Tzaddé final qui refuse le départ et qui dit : "non tu resteras, je ne te laisserai pas décamper. Je continuerai à t'opprimer". Et  une autre section où le Qof dit " Arrive, arrive ! Viens  vite".  Vous aurez donc deux rythmes différents.
 
Il faut quitter le lieu du Tzaddé final malgré toutes ses séductions de fausse prospérité dans l'illusion de l'enrichissement perpétuel. Il faut "s'arracher".  Et ne pas se retourner, comme l'a fait la femme de Lot qui s'est retournée dans la partie trop proche du Tzadé final : elle a été changée en statue de sel, elle a été récupérée par Sodome et Gomorrhe. Dans le tunnel on doit aller de l'avant de l'avant sans se retourner.

"C'est un épisode de vie extrêmement réel, moi je l'ai vécu ; et je dois vous dire que c'est terrible à vivre quand on ne sait pas ce que c'est. Ce que je peux vous dire, c'est qu'après avoir eu le Tzadé final sur le livre dont vous avez la photo, avoir pris les décisions que j'ai prise :  " bon, j'arrête tout ". Eh bien j'ai dit : " bon maintenant il faut que je parte en France ". Je suis montée dans ma voiture, et ça je peux vous le jurer sur… ce que j'ai de plus cher au monde : je me suis sentie dans un tunnel. J'ai senti autour de moi quelque chose qui se refermait et j'ai senti que j'allais m'engouffrer dans quelque chose, j'étais au volant de ma voiture presque paralysée par cette perception, et puis je me suis dit : " ça c'est important … tu rentres … " j'avais l'impression de m'engouffrer, vous savez, dans ces grands tuyaux de béton qu'utilisent les entreprises de route, j'avais l'impression que physiquement je rentrais là-dedans. Et vous allez voir dans le film, vous avez exactement la même chose : vous avez Humphrey Bogart qui est enroulé dans un bidon, et il entre dans le tunnel par la même image que moi j'ai eue…" http://dominique-aubier.com/crbst_119.html


Et pour en savoir plus sur la Crise :