mardi 21 octobre 2008

Le Secret des Secrets…

Le Secret des secrets…

Comment réconcilier toutes les religions du monde ? Comment les croyances peuvent-elles se rencontrer sans qu'aucune d'elles ne renonce à son identité ? Le judaïsme, le christianisme, l'islam peuvent-ils se concilier ? Sur quel terrain la rencontre peut-elle se faire ? L'œcuménisme est-il possible ? Si oui, quelle serait la méthode efficace pour réaliser la rencontre des cultures ?

Spécialiste du Sacré, Dominique Aubier a exploré l'enseignement de Don Quichotte dont elle a découvert le codage hébraïque. Munie de cette clé, elle pénètre les énigmes de la kabbale qu'elle considère comme la science de l'esprit et ouvre une à une les confidences des rites et traditions que l'on croyait hermétiques : ici, le Soufisme et le Livre des Demeures de Sainte Thérèse d'Avila livrent leur secret, dans toute la pureté de leur langage symbolique médiéval.

Chaque culture ayant son prestige, sa grandeur et son importance, Dominique Aubier ne craint pas d'aborder le chamanisme des Indiens d'Amérique. Elle rend hommage au sorcier amérindien de la tribu des Yaquis, Don Juan Matus, en qui elle reconnaît un initié de première importance. Rendu célèbre par l'ethnologue Carlos Castaneda, ce sorcier nagual du Nouveau-Mexique s'avère, selon Dominique Aubier, un être de Connaissance lumineux ayant offert au monde la magnifique participation de sa tradition dans l'espoir qu'un jour son symbolisme serait libéré.

Sans oublier les Dogons, le Taoïsme, le Le bouddhisme, l'auteur propose un tour du monde des traditions. Cette quête du Graal est passionnante. Et la surprise est grande, car ce que l'on imaginait occulte ou ésotérique s'ouvre au grand jour, sous la plume d'une experte qui dispose du code d'accès. Il s'agit en effet de dévoiler la carte et le territoire exacts permettant la rencontre des civilisations.

Mais le but n'est pas de pratiquer le tourisme de la spiritualité ! En ouvrant cette grande fenêtre sur la réalité du monde, l'auteur préconise la conciliation des croyances, par delà les dogmes, sans qu'aucune culture ne renonce à ce qu'elle est. De chacune d'elle, fût-ce la plus modeste, elle relève le prestige : il n'est pas question ici de prosélytisme ou de conversion, mais de savoir comment réussir la Civilisation de l'Universel sans rien renier de la magnifique diversité culturelle que les peuples ont su construire. Il ne s'agit pas d'engoncer toutes les cultures du monde dans la même veste, mais de mettre au jour la structure invisible et le Code sous-jacent à toutes les traditions : c'est-à-dire identifier ce qui unit. La performance de Dominique Aubier est unique, car aucun archéologue ou ethnologue n'a réussi à ce jour à dégager le vecteur d'universalité des civilisations. Et c'est exactement le pari que tient l'auteur : elle lève le voile sur l'identité du modèle de référence qui sous-tend l'ensemble des religions, rites et traditions.

Ce livre de référence, rédigé dans une verve réjouissante à l'esprit, conceptualise dans un langage moderne accordé au savoir objectif, les valeurs que défendent toutes les traditions du monde. Il est une introduction à La Face cachée du Cerveau qui expose le détail des lois structurelles et archétypales fondant cette universalité.

Le Secret des secrets
Par Dominique Aubier
Ed. M.L.L. / La Bouche du Pel
225 p. Format 16,5 x 24 cm
33 euros. Expédition incluse (CEE)
Ce livre est en cours de réédition.
Vous pouvez réserver votre exemplaire en écrivant :

M.L.L. / La Bouche du Pel
BP 16
27 240 DAMVILLE

Le Secret des Secrets

ou :
dblumenstihl@dbmail.com

mercredi 15 octobre 2008

La mort de Guillaume Depardieu

Guillaume Depardieu vient de nous quitter.
Hommage à l'Ange qui a brûlé ses ailes…
Bon sang, si notre société ne sacrifiait pas tout au matérialisme, les Innocents auraient une chance de s'en sortir…

Adieu Guillaume. Tu portais bien ton nom.
Ta mort est un message dont nous devrions tenir compte.
De la part de Dieu, la mort de l'humanité nous pend au bout du nez si nous continuons de foncer dans le mur.

Et puis, il faut bien le dire aussi, que cela plaise ou non : Guillaume Depardieu a été victime de la science.
Victime de la médecine : il a subi 17 opérations suite à son accident de moto, il a contracté une maladie nosocomiale, à l'intérieur de l'établissement hospitalier… Cette même médecine qui prétend sauver, c'est la même qui assassine !

Son corps a été maltraité, charcuté, il a vécu des souffrances infinies…

C'est tout le corps de l'humanité qui est touché.

Amputé de la jambe droite… ne marchant que sur sa gauche…
Nous ne vivons que sur un seul hémisphère cérébral… le "Qui fait"…
Depardieu a été victime de cette civilisation qui renie le Verbe et qui ne croit qu'aux prétentions matérielles.
Il a incarné, dans sa vie, dans son corps, la situation de notre civilisation.

La mort de Guillaume Depardieu est un puissant message destiné à ceux qui savent lire les signes…

mardi 7 octobre 2008

Comment sortir de la crise ?

Le krach financier qui frappe l'économie nous concerne tous.
Mais l'analyse qu'en font les économistes et les politiques est fausse. La crise n'est pas financière mais culturelle. Elle est civilisatrice.
Voir "La Face cachée du Cerveau", le site structural de la couche 5c.
Passage du pont vers la couche 6a.

Dans le livre "Catalina", Dominique Aubier explique exactement ce qu'est la crise.
Et comment en sortir.
Voici un extrait…

— C’est bien une crise du profit, une crise de la rentabilité à outrance. Je ne suis pas socialiste pour un sous et j’estime que c’est une idéologie rétrograde qui tient plus de la machine à vapeur que du modernisme, mais je dois reconnaître que dans leur étude, ils ont bien cerné le fait que nous vivons dans un monde où l’argent est le nerf, que le produit financier décide de toutes les innovations et que l’argent en tant que tel exerce un hypnotisme puissant.
L’analyse des socialiste est incomplète et profondément entachée, elle est elle-même confinée dans le secteur qu’elle prétend critiquer, ce qui en fragilise la pertinence. Mes critères sont initiatiques tandis que la lecture socialiste de la crise est intérieure au système qui la génère. Elle n’identifie pas la nature du serpent. Elle ignore même qu’il existe. La Connaissance ne peut utiliser ces petits instruments que les experts en économie mettent en œuvre. La Connaissance n’a qu’un seul instrument : l’Absolu.
— La crise est mondiale… Selon les experts, il suffit d’une étincelle et tout le système explose…
— Oui, les experts… Ils analysent ce qu’ils constatent… mais ils ne savent rien des protocoles de terminaison cyclique… il faut, je vous l’assure, cesser de les écouter…
—Les socialistes prétendent juguler la crise par une rectification des mécanismes du profit… j’ignore si c’est possible, mais l’idée paraît bonne. Il faut une redistribution sociale des profits, un partage équitable des richesses… Au fond, mes amis de Droite sont d’accord…
—Oui, cela sonne bien. Le partage des richesses… mais c’est encore lutter à l’intérieur du serpent planétaire… Si bonne que soit l’intention, elle relève encore d’une illusion de type linéaire. L’analyse socialiste, tout comme celle des capitalistes ou des marxistes, se situe sur la chaîne des expériences historiques. Elles se greffent toutes sur les anneaux du serpent qu’elle prétendent maîtriser, plus ou moins proches de la tête à venin…
—Que proposez-vous alors ? Je veux dire concrètement ?
—Il faut donner à la ligne événementielle l’ordre de prendre la position structurale.
—Qu’entendez-vous par là ?
—Il faut adopter la position de l’Absolu, et il n’y en a qu’une…
— Il faut rattraper le principe fondateur…
— Il faut, il faut… C’est bien connu ! En attendant, les grosses multinationales sont au bord du gouffre. Les faillites s’accumulent à Wall-Street ! Les géants américains sont en cessation de paiement ! La faillite est totale. Les gouvernements injectent de l’argent, mais rien à faire, c’est un gouffre sans fond…
—D’abord il faut bien comprendre la situation. Ce que nos politiques ne font pas. Ils naviguent à vue et ils croient rattraper ponctuellement des situations alors que c’est l’ensemble du cycle qui est terminé.
—Vous pensez que c’est une apocalypse ?
—Nous sommes en fin de cycle, un cycle énorme dont le départ se situe dans les parages du Paradis Terrestre. Il se situe, comme je l’ai dit, dans l’espace où le biologique cède la priorité au civilisateur. L’énergie créatrice, symbolisée par la lettre « youd » déverse sa puissance dans ce réservoir et explose avec l’Homme. Le « i » de l’énergie se pose en modèle de relance, il dépose son secret à la sortie du Paradis terrestre. Eve tourne le dos à l’appel structural, elle n’entend pas la voix d’Elohim qui indique qu’il faut conclure l’étape Gan Eden, qu’il est temps de rejoindre le thème archétypal afin de lui donner, pour la première fois, un sort culturel, une formulation civilisatrice.
—Pourrait-on parler de ratage ? Un ratage civilisateur ?
—Eve a continué de croire à la progression indéfinie et sans pause de l’évolution, elle n’a pas compris la sommation structurale. Il faut que vous compreniez que « nahach » correspond à un instant précis, c’est l’éclair pendant lequel la vie s’éprend de l’ensemble rectiligne et chronologique des événements, elle confère à cet ensemble une sorte d’individualité provisoire. La position « nahach » démarque une constante…
—Sur une durée limitée. C’est ça ?
—Exactement. A cet état provisoire succède la rotation des liaisons autour de l’axe chronologique et cette pliure conduit à la stabilité.
—Donc, si je comprends bien, à la suite de l’équation Nahach, apparaît une autre équation qui désigne… une amorce de la forme stable ?
—Nous pouvons être plus simple que cela. Après Nahach apparaît Hiviah, et c’est la posture reptilienne au cours de laquelle l’animal cherche à se mordre la queue.
Nahach devient Hiviah. Hiviah, c’est le symbole d’une situation évolutivement plus confirmée que celle de Nahach. La présence du Youd dans le mot introduit que l’Absolu est de la partie… L’Absolu et la structure qu’il induit…