Cher(e)s amies de l'Espagne et de Don Quichotte,
Queridos amigos de España y de Don Quijote,
Dominique Aubier a étudié les rites, religions et traditions du monde. Experte de l'hébreu biblique, spécialiste de Don Quichotte dont elle a découvert le cryptage hébraïque et araméen. Son propos est de libérer la Connaissance des entraves symbolistes pour accéder à une compréhension universalisante, dépassant les différences religieuses. Son grand livre, "La Face cachée du Cerveau" présente le code des archétypes partagés entre toutes les traditions du monde…
Cher(e)s amies de l'Espagne et de Don Quichotte,
Le vrai secret de Don Quichotte, par Dominique Aubier
Il est difficile d'aborder la littérature ou la peinture espagnole sans aller d'abord à la recherche de l'humain. C'est que toute littérature part de l'homme, s'occupe de l'homme et retourne à l'homme. Elle s'en échappe pour revenir sur terre, sur la chair. Les Espagnols semblent n'avoir jamais oublié que l'art est connaissance en même temps que création. Une création qui intéresse avant tout l'Humain.
1. El hombre a secas
L'Homme seul et nu, l'Humain qui peut toujours surgir de n'importe qui et n'importe où. Au sommet de toutes les valeurs, l'esprit espagnol place cette statue. Une silhouette humaine, essentiellement ouverte vers l'intérieur, montrant le vrai de la chair et du sang, jusqu'à l'os, jusqu'à l'âme. Témoin de cette vérité, par-dessus toutes les plaines ensoleillées de l'Espagne, tombe l'ombre toujours exemplaire du plus espagnol des personnages, Don Quichotte.
Cervantès réussit ce coup de maître, ce tour « castizo », d'enlever du premier geste la silhouette idéale, le fantôme espagnol poussé de tout un peuple. Il le capture et le glisse dans l'armure du chevalier « errant », qui va de l'avant : « andando ». Le fameux hidalgo de la Manche est la personnification même de l'esprit d'un écrivain et dans cette personnification trop bien faite, trop bien ajustée, surgit tout naturellement l'esprit espagnol. Un esprit qui connaît le mystère de vivre. Quand un danseur, un chanteur, un torero, un artiste a, par d'obscurs chemins, conduit le spectateur à entrevoir dans lui, par son œuvre, ce fantôme de l'homme éternel des terres castillanes ou andalouses, il est courant de dire d'après l'expression devenue fameuse de Federico Garcia Lorca qu'il a du duende. Du fantôme. Pour moi, je vois le duende avec l'allure et la nervosité de Don Quichotte et cette sagesse imperturbable qui fait éclater la folie que l'écrivain prête au « plus fin entendement de la Manche ».
2. Miguel Cervantès de Saavedra
naquit à Alcala de Henarès en 1547, non loin de Madrid, dans un bourg où les Gitans vont une fois l'an se réunir, dans un soulèvement de poussière qui ferme le paysage et dans quoi piétinent des milliers de mulets luisants. Il écrit les aventures de l'ingénieux Hidalgo Don Quichotte de la Manche, publié en 1605, sur le tard de sa vie.
La littérature espagnole est de celles qui exigent la maturité. Même la langue demande un long apprentissage non de la grammaire, mais de la vie. Cette langue ne se donne qu'aux sages. Le Castillan ne se livre qu'aux esprits pour qui la chair et le cœur n'ont plus de secrets. Cervantès qui écrit pendant une bonne partie de sa vie reçoit, à la cinquantaine passée, les confidences de cette langue qu'il connaît, qu'il entend, qu'il fabrique. Dans son grand livre, chaque idée se met si naturellement en image, en mouvements, que le plus faux des personnages se met à vivre, d'une vie supérieure mais identifiable au regard. Don Quichotte agit avec toute l'espagnolité en lui. C'est l'essence de l'Espagne faite chair. Don Quichotte personnifie si souvent l'esprit dan ses explications que l'on en donne pour les enfants : il est à mon avis l'écrivain lui-même, qui conte ses mésaventures spirituelles par le truchement d'un fou qui souffre de trop de sagesse. Mais c'est là chose d'Espagne où l'esprit ne se conçoit pas hors de lui-même : il existe parce qu'il se manifeste, et s'il ne fait rien, il n'est pas.
Ces aventures peuvent être lues sur plusieurs plans, ayant secret à chaque étage, pour les simples et pour les subtils, emmenant les plus obstinés à des hauteurs insoupçonnées. Don Quichotte constitue, pour l'Espagne Le livre. Don Quichotte est Le personnage. Le livre de Miguel de Cervantès est la Bible de l'Espagne. Les enfants apprennent à lire dans ces pages, les étudiants apprennent l'art d'écrire dans ces phrases, les hommes apprennent, par lui, à penser.
3. Briser les enveloppes pour croquer l'amande
Il est impossible de comprendre la littérature espagnole dans son ensemble sans commencer par fréquenter ce livre qui parodie les romans chevaleresques du XVe siècle. La vêture du personnage et le décor des scènes sont empruntés à cette littérature, mais que l'on ne s'y fie pas. Cervantès entre dans cette coquille vide et y loge une vie neuve. Il est difficile pour le lecteur français, j'allais dire occidental, de pénétrer du premier coup dans ces images closes qui recèlent leur secret au centre. Il faut briser les enveloppes pour croquer l'amande. Les significations enfermées dans chaque scène, dans chaque mot apparaissent vivement à l'intelligence espagnole rompue à la compréhension des symboles, des gestes, des images. En un sens, l'œuvre maîtresse de Cervantès regroupe et réunit toutes les données de la vie spirituelle espagnole, et même le paysan s'y reconnaît.
On peut dire que la philosophie latente qui mène ces aventures est la philosophie même de l'Espagne, telle qu'elle sourd de son peuple et de sa terre. C'est pourquoi comprendre Don Quichotte c'est opérer la première naturalisation à l'esprit et à la pensée fondamentale de l'Espagne. Je fais allusion ici à la pensée non exprimée, non expliquée qui soutient le style de vie des paysans, de l'énorme masse rurale qui fait l'essentiel du peuple espagnol. Au début du XVIIe siècle paraît le livre qui met en action romanesque l'essentiel de cette pensée qui n'avait pas la possibilité de s'exprimer rationnellement. Depuis, ce livre entretient ceux qui le lisent dans cette connaissance d'un peuple qui ne change pas, s'interroge toujours sur lui-même et parfait son idéal.
4. La géométrie éthique - esthétique de Don Quichotte
Cette présence de l'Homme, dans Cervantès, est si caractéristique qu'elle décide même de ce que l'on pourrait nommer la géométrie esthétique. Le cadre dans lequel le plus « castizo » des auteurs place le plus « castizo » des personnages a toujours, en tout cas, cette proportion qu'auront les tableaux de Goya, l'horizontalité de la terre s'imposant à la plus grande dimension, le tableau mis en largeur plutôt qu'en hauteur. Et dans ce cadre, en plein milieu, dos tourné au lecteur mais fonçant vers l'horizon, Don Quichotte droit et hissé sur son cheval maigre afin d'en occuper toute la hauteur accordée. Vers quoi court-il à la vitesse de son cheval et de son imagination ? Remarquez-le : toujours vers des humains, sans souci du paysage, ayant plutôt soin de ce qui permet à l'être de venir, d'approcher, à ce qui est strictement humain dans les paysages, les chemins et les routes.
Cette préoccupation va loin. Elle engage la morale de tout un peuple qui dit : « Nadie vale mas que nadie », personne ne vaut plus que personne, et qui corrige cette affirmation toute métaphysique — la métaphysique espagnole étant retournée vers le cœur, vers l'être, et non partie de ce regard vers l'extérieur qui invente des dieux — par cette autre affirmation morale qui impose à l'homme, de se créer lui-même en toute responsabilité : « Chacun est fils de ses œuvres. » Ainsi, à une mauvaise plaisanterie du Duc, Don Quichotte répond que « Dulcinea est fille de ses œuvres et que les vertus corrigent le sang »…
Dr. Prof. David Gonzalo Maeso, Departamento de Hebreo y Arameo
AUBIER, DOMINIQUE
La synthèse des sciences ou l'hébreu en gloire
Le Qorban. Artes gráficas Soler S. A. Valencia, 1973, 272 pp. 25'5 x 15'5, Ed. M.L.L. La Bouche du Pel
La actividad intelectual de esta ilustre y original escritora, y el afortunado encuentro que nos proporcionó la conferencia que, por invitación nuestra, pronunció en la Facultad de Letras de la Universidad de Granada, bajo los auspicios del Departamento de Hebreo y Arameo en junio de 1971, han sido las causas determinantes, junto con los temas tratados por ella en varias publicaciones, de las varias reseñas de obras suyas que fibouran en esta Miscelánea.
Al aparecer la que ahora nos ocupa, es posible no sea ya la última, al menos en la realización, si no en la edición. Ingenuamente confesamos que si, en las materias o referencias que caen dentro del campo de nuestra especialidad, nos atrevemos a formular un juicio, insinuar alguna observación, hasta eventualmente mostrar alguna discrepancia, ya que todo eso debe abarcar una crítica bibliográfica, en el terreno rigurosamente científico, que en D. A. es el de más hondura, nos reconocemos del todo profanos. En esto nos remitimos a los científicos. Por otra parte, invadir ese ámbito equivaldría a salirnos del propio de esta revista, otra razón más para mantenernos cautamente un tanto al margen del contenido básico del libro. En otro círculo, inscrito dentro del ancho mundo del hebraísmo, admiramos el impetu ascensional del espíritu y vuelo místico de la Cábala, a que tan aficionada se muestra la autorra, y en la cual demuestra envidiable competencia y entusiasmo, pero por nuestra parte, prefe-rimos la actitud maimonidiana, sin incluirnos por ello en las filas de lo totalmente adversarios de la Cábala, en lo que tiene de puro misticismo.
Algún punto de contacto con éste, aunque sin salirnos del área severa de la Lingüística, podría señalarse en ciertos estudios nuestros dados a luz en ésta y otras revistas, p. e. Valores semánticos de los fenemas hebreos (1957) y Apuntes para una Prosopología lingüística (1958), que no dejan de ofrecer conexiones con numerosas referencias o teorías expuestas por D. A. en éstas y otras obras suyas. La que ahora reseñamos, de « la Solitaria de Carboneras » (Almería), si podemos llamarla así en toda la extensión de la palabra, dado que con frecuencia acuden a aquel atractivo santuario de la Ciencia ilustres personalidades para entretenerse en provechosos coloquios de alto nivel, se divide en seis partes, precedidas de una presentación (pp. 9-31) y suplementadas por ocho notas, bajo el epígrafe : « La labilité structuraliste de l'hébreu » (pp. 255-261), y once esquemas gráficos, que siguen al indice. La obra, impresa, en España, en el primer trimestre del año actual, y elaborada en el lapso de septiembre 1971 al mismo mes de 1972, ofrece dos aspectos, cifrados en su doble título: Síntesis de las Ciencias y Sublimación del Ebreo, como lengua filosófica de alta cultura. Encierra pues, una Filosofía de las Ciencias, de subido interés, tanto por lo que implica de conocimiento profundo y superior de éstas como por la ligazón que se establece entre ellas y el mundo del espíritu. Los textos bíblicos con que D. A. encabeza los capítulos de la obra, todos del sublime Isaías, patentizan la insondable profundidad del mensaje escriturarío, la altitudo sapientae et scientiae Dei. « Los números tienen un poder descriptivo en hebreo, consigna la autora, donde aparecen asociados a hechos ontológicos, contorneados al propio tiempo por las letras del alfabeto. Glifo o cifra son así capaces de testimoniar un fenómeno » (p. 41). Por otra parte, « la Cábala judaica, análisis inductivo que desenvuelve las potencialidades de la lengua hebrea, revela apreciaciones que parecen misteriosas mientras el mundo no ha sacado a la luz la sabiduría que les sirve de testigo. La Cábala sabe que debe esperar a que la Ciencia occidental alcance el estado de plenitud que ha de capacitarla para presentar las conclusiones que necesita » (p. 55). Aparte de los valores apuntados de la obra en el orden científico, la relevancia que en ella se asigna al Hebreo en relación con los secretos de las Ciencias, aspecto en cierto modo nuevo, pone de manifiesto las inexhaustas perspectivas que atesora esa lengua que, elegida por Dios para su trascendental mensaje a la humanidad, encerrada ya en su prística contextura posibilidades insospechadas, que su ejercitación por los grandes pensadmes y orfebres del lenguaje de Israel, bajo el soplo divino, fue aquilatando y acreciendo hasta convertirla no solamente en « la lengua más poética de la tierra », en frase de Herder, sino también la más filosófica ; y perdon, en los hablantes maestros de la griega y otras, que tal vez ellos conceptúen, desde su respectivo punto de vista, como especialmente aptas para la expresión del pensamiento filosófico. En la doce hojas finales — figuras aparte — aparece el Hebreo como « la Voz de oro del mundo », elogio insuperable si no tuviera hace siglos otro aún más preciado, de « la lengua santa ». La obra de D. A. no es ciertamente una novela — tal supuesto de frivolidad sería inferir grave ofensa a la egregia autora —, y, sin embargo, enciera un interés similar, bien que de orden superior, propio de los escritos cuyo contenido pertenece a la elevada esfera del pensamiento. Por eso hay que leerla despacio, rumiarla, meditarla. Ante los ojos del lector van desfilando las Ciencias, con sus especiales características: las Matemáticas, en primer término, Físico-Naturales, Biología, Antropología. La descripción que de las mismas se hace en el estado actual de los conocimientos es apasionante. No hay imaginación novelesca que pueda superar en interés esa cosmovisión. Los asombrosos descubrimientos astronómicos de nuestros días, p. e. el telescopio, demuestran que « l'univers s'ouvre fabuleusement » (p. 89). Ante ese cúmulo de maravillas del imponente libro de la Naturaleza el tannakí, el hombre de la Biblia, abre otro aún más maravilloso de la Palabra de Dios y lee extasiado : « Caeli enarrant gloriam Dei et opera manuum eius annuntiat firmamenum » (Sal 19, 2). No es el menor mérito de las obras de Mme Dominique Aubier la cantidad de ideas-madres que las esmaltan, hasta el extremo que así como en el lenguaje hebreo-bíblico es un título de honor « madre en Israel », adjudicado, p. e., a la profetisa Débora, y también a alguna ciudad especialmente conspicua, no dudaríamos en aplicar a la ilustre escritora el título similar de « madre en la Ciencia ». Interesante y copiosa sería una antología fraseológica seleccionada en sus escritos.
Dr. Prof. David Gonzalo Maeso
Réponse à Hitler :
La mission Juive
par Dominique Aubier
Ce livre est une vraie "réponse à Hitler". Il montre en quoi le nazisme a échoué et ne saurait jamais réussir. Car tout à l'opposé de la tentative d'extermination se dresse l'Alliance, le contrat intime et privilégié que le Créateur a établi avec l'Humanité tout entière. Le peuple hébreu dont «l'élection» est bien plus une responsabilité qu'un privilège, porte en lui et sur lui la marque symbolique de cet attachement : la circoncision à huit jours.
Dominique Aubier explique ce rituel en corrélation avec les sciences. Elle en explicite la symbolique et dégage la signification. La performance est belle que découvrir la valeur et la portée exacte de cet acte par lequel l’individu se voit accorder sa première noblesse au sein d’une tradition. L'éveil à l'esprit s’inscrit symboliquement dans son corps, comme acte mémoriel ineffaçable.
Ouvrir l’énigme de ce rite conduit à libérer d’autres secrets, dont celui des séphiroth. L’auteure nous en livre les clés : cernant avec efficience le milieu où le symbole trouve sa place, dans les zones cérébrales significatives de la pensée. Ce livre s’appuie sur une lecture étayée du Sepher ha Bahir et du Sepher Ha Zohar. Il en résulte une mise au clair exceptionnelle du sens de l’Alliance avec le principe de Création. Antidote aux idées nauséabondes du nazisme, ce livre est une réponse puissante et définitive à l’antisémitisme.
Réponse à Hitler
La Mission juive
Par Dominique Aubier, éditions du Qorban, édition originale 322 pages,
16 x 24 cm, livre cousu, typographié par Arte Graficas Solers sur papier de luxe, 47 €.
Le titre est écrit à l'envers sur la couverture, car il s'agit de tourner le dos à l'antisémitisme et donc d'affirmer à l'ndroit les valeurs de l'esprit… |
Nouvelles exégèses de Don Quichotte
par Dominique Blumenstihl-Roth
Le livre est disponible
Dominique Aubier a mis au jour le codage hébreu / araméen de Don Quichotte, Elle a ouvert un immense champ de recherches, pénétrant le secret du chef d'œuvre de Cervantès au plus près de son cryptage et de son sens.
Dans les pas de son Maître dont il fut l'assistant pendant 28 ans, Dominique Blumenstihl-Roth poursuit cette enquête. Explorant à son tour le texte original de Cervantès et lui appliquant les techniques de kabbalistiques éprouvées par la Tradition au « tamis » du codage initiatique de la Connaissance actualisée (cf. La Face cachée du Cerveau), l'auteur convie le lecteur à bord de la barque enchantée évoquée au chapitre 29, tome II de Don Quichotte.
Ce voyage en compagnie du chevalier et de Sancho sur le Rio Ebro nous fera sonder les eaux du grand fleuve ibérique. De riches alluvions remontées de ses profondeurs enrichiront notre lecture, laissant transparaître l'Alphabet fondateur. Un chapitre important est consacré aux Lettres révélées, données en partage à tous, ouvrant sur une lecture initiatique de l'épisode évangélique de Jésus marchant sur les Eaux. Ce premier tome des Nouvelles exégèses de Don Quichotte lance l'appel aux forces du cœur pour fonder la Civilisation de l'Universel sur la base solide de l'éthique quichottienne.
La série Nouvelles exégèses de Don Quichotte se déroule en 6 volumes.
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Nouvelles exégèses de Don Quichotte
par Dominique Blumenstihl-Roth
Tome I
412 pages, format : 15,5x21 cm, 47 € (expédition incluse pour la France)
(expédition CEE /international : + 9 €)
Nom / Prénom :
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M.L.L. / La Bouche du Pel
B.P. 16
27240 DAMVILLE (Mesnils-sur-Iton)
Nouvelles exégèses de Don Quichotte
par Dominique Blumenstihl-Roth
Dominique Aubier a mis au jour le codage hébreu / araméen de Don Quichotte, Elle a ouvert un immense champ de recherches, pénétrant le secret du chef d'œuvre de Cervantès au plus près de son cryptage et de son sens.
Dans les pas de son Maître dont il fut l'assistant pendant 28 ans, Dominique Blumenstihl-Roth poursuit cette enquête. Explorant le texte original de Cervantès et lui appliquant les techniques de lecture kabbalistique éprouvées par la Tradition en le passant au « tamis » du codage initiatique de la Connaissance actualisée, il convie le lecteur à bord de la barque enchantée évoquée au chapitre 29, tome II de Don Quichotte).
Ce voyage en compagnie du chevalier et de Sancho sur le Rio Ebro nous fera sonder les eaux du grand fleuve ibérique. De riches alluvions remontées de ses profondeurs enrichiront notre lecture, laissant transparaître l'Alphabet fondateur. Un chapitre important est consacré aux Lettres révélées, données en partage à tous, ouvrant sur une lecture initiatique de l'épisode évangélique de Jésus marchant sur les Eaux. Ce premier tome des Nouvelles exégèses de Don Quichotte lance l'appel aux forces du cœur pour fonder la Civilisation de l'Universel sur la base solide de l'éthique quichottienne.
La série Nouvelles exégèses de Don Quichotte se déroule en 6 volumes.
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Nouvelles exégèses de Don Quichotte
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Tome I
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